Le quotidien d’une rue Viennoise en pleine crise, durant l’inflation du début des années 1920. On suit quelques personnages de diverses classes sociales qui vivent ou survivent, se prostituent ou aiment, meurent... ou tuent. Une femme (Asta Nielsen) amoureuse d’un arriviste est prête à tout pour satisfaire les ambitions de son amoureux (Henry Stuart) sans savoir qu’elle n’est pas la seule dans sa vie ; une jeune femme, Grete Rumfort (Greta Garbo), doit subir les conséquences de l’imprudence boursière de son père (Jaro Fürth) ; un jeune couple avec enfant souffre tant de la faim que la jeune femme (Herta von Halter) couche avec le boucher local, Greitiger (Werner Krauss) pour avoir suffisamment de forces et nourrir son bébé ; un spéculateur (Robert Garrison) passe ses nuits à faire la fête chez une boutiquière (Valeska Gert) qui tient aussi un établissement ou des femmes se donnent en spectacle et se livrent à la prostitution...
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EXTRAIT
Fiche technique
- Titre : La Rue sans joie
- Titre original : Die Freudlose Gasse
- Réalisation : Georg Wilhelm Pabst
- Production : Romain Pinès et Michael Salkind (non crédités)
- Société de production : Sofar-Film
- Scénario : Willy Haas, d'après le roman de Hugo Bettauer
- Photographie : Robert Lach, Curt Oertel et Guido Seeber
- Montage : Anatole Litvak et Marc Sorkin (non crédités)
- Direction artistique : Otto Erdmann et Hans Sohnle
- Pays d'origine : Allemagne
- Genre : mélodrame
- Format : Noir et blanc
- Durée : 145 minutes
- Sortie : 18 mai 1925 à Berlin (Allemagne)
Distribution
- Greta Garbo : Greta Rumfort
- Asta Nielsen : Marie Lechner
- Valeska Gert : La Greifer
- Werner Krauss : Le boucher
- Ilka Grüning : Frau Rosenow
- Jaro Fürth : Le conseiller Rumfort
- Robert Garrison : Canez
- Agnes Esterhazy : Regina Rosenow
- Einar Hanson : Le lieutenant Davy
- Tamara Tolstoi : Lia Leid
- Henry Stuart : Egon Stirner
- Herta von Walter : Else
- Gregori Chmara : Kellner
- Lya Mara
Analyse et critique
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