Les Troyens
Opéra en cinq actes
d'Hector Berlioz
Antonio Pappano (direction)
Bryan Hymel (Enée)
Eva-Maria Westbroek (Didon)
Anna Antonacci (Cassandre)
Fabio Capitanucci (Chorèbe)
Brindley Sherratt (Narbal)
Hanna Hipp (Anna)
Barbara Senator (Ascagne)
Robert Lloyd (Priam)
Pamela Helen Stephen (Hécube)
Jihoon Kim (Fantôme d'Hector)
Ashley Holland (Panthée)
Ji Hyun Kim (Hélénus)
Lukas Jakobski (Capitaine Grec)
Daniel Grice (Soldat Troyen)
Ji-Min Park (Iopas)
Adrian Clarke (Premier Soldat)
Jeremy White (Second Soldat)
Ed Lyon (Hylas)
Royal Opera Chorus, Orchestra of the Royal Opera House
David McVicar (mise en scène)
Es Devlin (décors)
Moritz Junge (costumes)
Wolfgang Göbbel (lumières)
Andrew George (choréographie)
Enregistré au Royal Opera House, Covent Garden, Londres, 5
juillet 2012
1ère partie : La prise de Troie
2ème partie : Les Troyens à Carthage
Commentaire de LEMELOMANE que je remercie.
"C'est une œuvre en 2 parties "La prise de Troie" et "Les Troyens à Carthage".
La 1ère partie est tirée d'Homère "L'Illiade" et la seconde de Virgile 'l'Eneide".
"La Prise de Troie" est axée autour de Cassandre et du Cheval de Troie, alors que "les Troyens à Carthage" relate les amours de Didon et Enée.
Cette réalisation est superbe par son interprétation et ses décors, moins par ses anachronismes des costumes. Découvrir le vieux Priam en Napoléon III est choquant. Le metteur en scène doit être nul en histoire. Ce serait si beau en péplum.
Heureusement on oublie cela assez vite en écoutant la belle et puissante Antoniacci.
L'orchestre est encore mené de main de maître par le grand (comique) Antonio Pappano.
Je ne connaissais pas encore Eva Maria Westbroek (Didon) ni Bryan Hymel (Enée).
Un bon et beau moment à passer avec ce grand Berlioz."
La 1ère partie est tirée d'Homère "L'Illiade" et la seconde de Virgile 'l'Eneide".
"La Prise de Troie" est axée autour de Cassandre et du Cheval de Troie, alors que "les Troyens à Carthage" relate les amours de Didon et Enée.
Cette réalisation est superbe par son interprétation et ses décors, moins par ses anachronismes des costumes. Découvrir le vieux Priam en Napoléon III est choquant. Le metteur en scène doit être nul en histoire. Ce serait si beau en péplum.
Heureusement on oublie cela assez vite en écoutant la belle et puissante Antoniacci.
L'orchestre est encore mené de main de maître par le grand (comique) Antonio Pappano.
Je ne connaissais pas encore Eva Maria Westbroek (Didon) ni Bryan Hymel (Enée).
Un bon et beau moment à passer avec ce grand Berlioz."
EXTRAIT
Eclairage
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